OCTOBRE ROSE -VI –

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OCTOBRE ROSE  , la signification

http://www.sudouest.fr/2013/10/20/bordeaux-coureurs-et-marcheurs-soutiennent-l-operation-octobre-rose-1205171-8.php

Suivez ce lien, vous verrez la manifestation d’OCTOBRE ROSE à BORDEAUX, car je m’inscris à fond dans ce message d’espoir. Comment pourrait-il en être autrement ? Ils ont marché et couru pour moi, pour vous, pour que tous, hommes et femmes nous nous fassions suivre en mettant toutes les chances de notre côté.

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 «  Je cherche dès le réveil ce qui est nécessaire au jour pour être un jour : un rien de gaieté. Je cherche sans chercher. Cela peut venir de partout. C’est donné en une seconde pour la journée entière. »

CHRISTIAN BOBIN/ Autoportrait au radiateur

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Avec OCTOBRE ROSE – VI-, c’est une nouvelle étape qui commence…

Le matin d’après OCTOBRE ROSE  – V  -…

S’il vous plaît, ne fermez pas la fenêtre, laissez la porte entrouverte afin de faire un chemin à la lumière. La nuit n’a pas besoin d’être contrainte. Ce soir-là elle pourrait être trop noire pour éprouver la joie de se voir revivre. Il ne faut pas gâcher le plaisir. De temps en temps, les vigies blanches de nuit, dévolues à la garde du château passent sur le fil des heures.

Le cadre est posé à l’effacement de la nuit. La veille déjà il avait permis la mesure de la fuite du nuage poussé sur le ciel bleu lorsque la brume s’était effacée ; comme l’échographe du jour.

Lorsque le nuage sortait du cadre, d’autres suivaient obligeant le regard à chercher les parcelles de  bleu auxquelles s’arrimer ; mais seul comptait le premier nuage.

Soudain dans le cadre du voyage rattrapé par l’aurore du matin d’après, apparut le tout d’un ciel bleu s’élevant au-dessus d’un canevas tissé d’oranges et d’horizontalité.

C’était «  donné en une seconde pour la journée entière ». 

Il me revient en tête les paroles de la chanson d’I MUVRINI : NE FERMEZ PAS LA PORTE, que je vous pousse à lire en entier : un tout d’orange, d’olive et d’amande  partagées sur un fond abrupt ; toutes ces mains tendues dans ces châteaux de pierre et de mots, de ciel encadré de livres, de roses et

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 Laissez s’envoler les oiseaux du paradis  du jour.

18 octobre 2013

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« Ils sont des gens du bord de l’eau et de la terre

Là-bas
Chez eux où la parole commence par le chant
Là-bas où le vent de l’histoire des autres
A souvent déchiré la paix sur leurs rivages
Leur laissant au cœur de vieux chagrins

Ne fermez pas la porte

Ils viennent d’une mémoire
Qui n’est pas racontée sur les bancs des écoles
De ces mémoires
Que seules les pierres racontent encore

Ce qu’ils ont au cœur est sur leur visage

Les mots qu’ils disent sont des mots simples
Qui parlent de vie de dignité
Quand d’autres pourraient croire
Que chez eux tout est perdu
Quand d’autres pourraient croire
Que tout s’est arrêté dans les veines de leur avenir ».

 

Ne fermez pas la porte/ I MUVRINI

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