Pour terminer ce sujet, juste quelques photos, au gré des rues du village.
Toujours en compagnie des mots de Christian Bobin
Le village de Conques et ses toits enchevêtrés
« La grâce de Conques, c’est qu’il n’y a presque rien. Je reconnaissais cette sensation, la même qu’à la lecture d’un grand poème : une grâce d’apesanteur, un ralenti princier. »
La place du village, en face de l’abbaye, là où se trouve l’hôtel Sainte Foy où a séjourné Christian Bobin.Toujours les toits enchevêtrés.« Les pierres de Conques respirent très lentement. Un siècle passe entre une expiration et l’inspiration suivante. »Une porte du village« Aucun pavé de Conques n’est semblable à un autre. Chacun contient l’âme de celui qui l’a posé, la fleur de sel de sa sueur. »Petit clin d’œil.autre clin d’œil avec lo secadou.
Et la conclusion de Christian Bobin que j’ai beaucoup aimée:
« Je pose sur la table le manuscrit de La nuit du cœur.