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Illusion d’été
Étrange
La réalité est là
Au bord du torrent
Sur les pavés chauffés à blanc
La réalité
Qui est
Et qui n’est pas.
Cœur de mélisse
Chant des flots impétueux,
La sente des menthes et des dravasses
Les odeurs de cabanes huîtrières
Que l’eau vient taquiner.
Le canal clapote
Grand large
L’onde de choc suspend ses rets
Que survolent les papillons
Monologues de terres
Et d’eaux
De la fleur au plateau
Du torrent au canal…
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ILLUSIONS D’ÉTÉ
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